Un nouveau natif d'Edénia

Abys, jeune seigneur de la Grande province d'Edénia, fut élevé dans une riche famille de la capitale. Fils d'un riche propriétaire, il menait une vie de débauche et de plaisirs, enchainant les nuits de fête et de beuverie. A l'âge de 19 ans, Abys assista a l'arrestation de son père, suspecté d'escroquerie puis exécuté après découverte de multiple preuves dans le bureau de la demeure familiale.

La famille fût destituée de ses biens et Abys ainsi que sa mère se retrouvèrent à mendier aux passants, ceux-ci les méprisants pour les arnaques passées. La mère d'Abys mourut peu de temps après, laissant ainsi le jeune homme, habitué à la facilité de la richesse.

Il s'exila, accompagné d'anciens serviteurs fidèles et d'amis de misère, et tous fondèrent une nouvelle colonie, un nouvel empire en les plaines monotones et stériles d'Elsweyr.

Le sieur Pendors complétement saoule s'adressa à Trix :

- Petit malin! Toujours toi qui a le bon rôle! Boire de l'eau c'est pour les faibles, prend donc une bière!
Le sieur Pendors se lèva de sa chaise et s'encoubla, il renversa toute la table..

Trix
- Tseuh! Vieu bougre! Reviens sur terre, tu fais honte à ton royaume dans cet état.
Lui jette un verre d'eau au visage.

Le sieur Pendors reprit ses esprits et rentra se reposé dans sa demeure.

Devant tout ce grabuge, le sieur Tsukiyomi sortit de l'ombre et leurs dit à tout trois :

C'est pas bientôt fini ? Bonjour Abys, je n'ais pas eu le plaisir de vous connaitre par le passé mais à ce que je vois vous avez déjà trouvé vos...

Regardant Pendors il reprit :

Vos, ivrognes et celui dont le nom fait pas mal d'échos en ce moment... Trix... Abys, convertissez vous maintenant et devant tout le monde à Galtar et alors, vous serez en paix !

Tsukiyomi se contenta alors d'une réponse...

Un dieu ? Mouarf foutaises !! Nos chemins ne sont dictés que par nos volontés. Un dieu, si prié soit-il ne régira jamais le chemin d'un Homme libre. Ce n'est pas en s'accrochant a une idole que la victoire viendra a vous. Je crois en Elsweyr, je crois en moi, en ma force et en celle de mes hommes, réfléchissez ôô croyant, est-ce en un dieu que réside votre salut ?

Le seigneur Tsukiyomi, trop habitué à cette réponse lui répondit :

Bien, dans ce cas, ne vous approchez pas trop près de mon fief et protégez vous bien !

Nanan, au contraire j'essaye jours pour jours de m'approcher asses près pour quelque action car la c'est de l'ennuyade ce qui arrive, pour la protection, souhate j'en aurais pas besoin, un vrai seigneur de guerre sait que la meilleur défense est l'attaque...

Quand vos cathédrales s'effondreront, que vos prêtres, descendus de leurs estrades se retrouverons en face de lames ne réclamant qu'à entendre leurs victimes hurler et implorer une entité illusoire, alors croirez-vous toujours en ce dieu qui vous guide et vous protège ? Bien tôt seront délivrés de leurs prison de croyances vos âmes enfin libres de voguer vers les méandres de ce monde ...

Le croyant Tsukiyomi ne sachant plus quoi dire préféra s'en aller au lieu de chercher moulte excuse pour son ''dieu''...

HRP : Tu devrais prendre ma version, elle s'approche plus de la réalité

Sir Abys frappa sur la table, son verre de vin rouge se renversa sur sa main gantée, qu'il dénuda, révélant ainsi une main osseuse au teint gris, contrastant terriblement avec le rouge de son vin

50 Hommes armés de fer valent plus qu'un millier de prêtres se réfugiant, tremblants, derrière leurs idoles, leurs valeurs ne laissant place qu'a la sottise de croire en la fatalité du destin, et non en l'écriture de celui-ci par chacun de nous.