Au lieu de partir dans tous les sens, voici le rp officiiel

Voila pour basculer entre l'ancien edenia et le nouveau , chacun va pas y aller de son interprétation

Il me parait bon de se mettre d'accord sur une version, bon, pas de dissertations, des barbares sont arrivés et ont tous razés même Altar voici donc le texte officiel a vous de broder votre histoire dessus

Une grande coalition, fut mise sur pied , une armée comme on n'en avait jamais vue, les seigneurs edeniens avaient bien vite oubliés leurs querelles a la vue de cette gigantesque armée. Nu ne savait exactement leur origine. mais les alchimistes et l'alliance cessèrent tous combats, même le belliqueux Orgulas comprit l'importance de l'union edenienne. Tous cela n'arriva pas du jour au lendemain, et nombreux furent ceux a continuer les luttes fratricides entre edeniens .
Mais la vérité s'imposa a la vue de tous quand la première attaque survint, une masse avance rasant systématiquement tous sur son passage, hommes et femmes furent ignoblement tués mais les enfants durent préserves laissés a eux même dans les villages en flammes , les barbares semblaient vénérer une ancienne religion pour laquelle les enfants etaient sacrés.
10 jours plus tard, les bannières edeniennes se rassemblèrent sous la même armée, Altar ayant apporté le plus gros des troupes en avait pris la tete, les stratèges militaires choisirent le lieu et l'endroit , une vallée pas tres loin
A l'aube une armée envahit l'horizon, flanquant leur lances contre leurs boucliers , ils arboraient un signe étrange sur leurs tetes. De l'autre coté , les edeniens , largement moins nombreux , comptaient seulement 600000 soldats dans leurs rangs, mais ils avaient pour eux la force et le moral de défendre leurs familles.

Bien plus loin, L'incomparable, Syllas et Eragon livraient une autre bataille pour leur survie

Syllas luttait pour sa survie tandis qu' l'opposé les forces conjointes de l'Incomparable et d'Eragon de Vark étaient réunies dans le meme castel

Altar sur son cheval d'or trônait a coté d'Halendor dont l'armure étincelait, derrière, Arioch et Orgulas constituait les principaux généraux ayant apportés le plus d'hommes , repartis dans les rangs de l'armée les généraux de campagne tout aussi célébrés mai moins puissant

Apres quelques instants a se targuer , les barbares innombrables commencèrent a réciter des sortes de prières impies, presque simultanément,un nuage de fléchè s'abattit sur les forces edeniennes , les boucliers se hérissèrent presque immédiatement et les pertes furent minimes parmi les troupes edeniennes

Les barbares manifestement mécontents commencèrent a entrechoquer leurs boucliers annonçant la charge funeste, Altar fit passer a un messager un ordre .
La charge commença , la terre trembla sous le poids de cette masse grouillante, hérissant ces épées comme autant de promesses de mort pour les edeniens.
Les edeniens, effrayés serrèrent leurs boucliers et serrerrent les rangs devant la masse
Le choc. Les edeniens reculèrent un peu devant la force de l'armée barbare mais tenu bon; Altar apres avoir réceptionné la charge avec ses hommes , fit un signal

Si vous voulez notre terre ,alors vous allez mourir pour elle , les barbares ne s'arrêtaient pas , tout a coup, des groupes entiers semblèrent disparaitre dans le col , comme s'ils étaient happés par une force invisible, un effet de panique fut immédiat et les barbares reculèrent,laissant aux edeniens le temps et la force de reprendre l'avantage

En realité le terrain etait truffé de pieges , des trous remplis de pîeux herissés, l'idée venait d'Halendor mais il n'aurait existé sans la connaissance des lieux d'Altar , en effet la bataille se deroulait non loin de son fief.
La vraie bataille commenca, les edeniens le moral sur les boucliers, commencerent a avancer, la bataille dura longtemps , Halendor et Altar combattant dos a dos, la victoire semblait possible, et a portée de main
Mais un cor fit trembler a nouveau la terre, les barbares semblèrent sourire, les edeniens ne comprirent pas , et continuèrent le combat. Une armée apparut , les bannières étaient familières aux edeniens, c'était celle d'Elizabeth de Cheverny, Santa Maria sous son nom de pirate, elle apparut derrière les edeniens,la vue des banniers entraine une ruée de joie dans les rangs, mais les chevaux se mirent en marche, chargeant
Quoi? Mais? Elle se trompe , les 200000 cavaliers de Santa Maria détruisirent larriere garde des forces edeniennes entrainant la mort d'au moins 50000 hommes désempares
Les edeniens avaient tous prevus sauf la traitrise d'une de leurs atouts majeurs .

La suite de la bataille fut courte, prise des deux cotés , les edeniens ne mirent pas longtemps a fuir , il resta bientot qu'un petit noyau de combattants , les généraux , encerclés , exterminant des barbares , Arioch avec sa hache a deux mains, Halendor avec son épee ancestrale, et les alchimistes avec larmé qui etait leur marque , des lances a doubles tranchants.
ILs combattirent vaillamment mais pas un n'en ressortit, avant de mourir , Halendor et Arioch semblèrent reconnaitre les barbares, les armées de leur ancienne contrée, Enyalos , ils n'avaient pas regardés avant mais cette armée immense n'était que la suite de leurs expédition arrivée plusieurs années auparavant et au même tire, qu'ils étaient largement supérieurs en arrivant , leurs anciens compatriotes avaient le même rapport de force . La dernière pensée d'Halendor et D'Altar furent

Pourquoi? Et la réponse ne leur vint pas

La mort fur leur seule reponse. Les terres furent pillées, les enfants comme d'habitude furent epargnés
2 ans plus tard , les barbares repartirent , on ne sait comment , on ne sait pourquoi avec Santa Maria, ils laissaient une terre dévastes mais les enfants étaient maintenant des hommes, ils n'appartenaient qu'a eux d'honorer le nom de leurs pères morts au combat

Une nouvelle vie commencait.......

HRP : (avant de poster mon RP) : je trouve ce RP très bon mais il y a 2 problèmes :
- L'incomparable a donné les raisons de l'attaque et qui était l'ennemi dans son RP (très bien aussi).
- J'ai fait en sorte que Syllas survive (Il n'a pas de descendance mais il faut qu'il en ait une dans la V2).

ba justement c'est le rp officiel , greffez vos textes dessus je vous autorise a copier coller vos rps en les adaptant

Ensuite Syllas ce que j'ai ecrit et ce que nous allons faire dans les prochains mois n'aura de toute manière pas de continuité sur la v2 donc pas de problèmes pour ta descendance

Sinon pour l'incomparable desole j'ai essayé de faire le plus vite possible copie ton texte ici, j'invite également tout les seigneurs a poster ici leur version des faits tout en respectant les grands axes de la bataille

cher voix,

pour simplifier ça remplaçon tes barbares par des 'maures' comme dans la version Incomparable
Ensuite on peu greffer plus facilement ce qui a été écrit sans trop d'incohérence
On va pas effacer ce qui a été écrit dans la mesure ou ça semble bien voir même très bien fait.

La principale difference c'est que je vais greffer des évents sur mon rp

Pas question d'effacer mais il est question d'avoir ici la version de chacun sur les événements

Maures , barbares comme je l'explique seul Halendor, Arioch et Altar reconnaissent la vraie appartenance des attaquants

Point de vue de l'incomparable
Hrp( Legerement corrigé notamment pour les elephants^^)

25 Mars 1208 au matin. Plages Edeniennes.

L'horizon. Vide. Une immense étendue bleue. Soudain, une immense ligne d'une couleurs indéfinissables.
Plusieurs centaines de navires. Ils n'étaient pas tous sarrasins. Se trouvaient engagés dans cette immense entreprise de conquête des égyptiens et des perses. Les navires voguaient depuis plusieurs mois. Aucun soldat n'arrivait par voie de terre. Les milliers d'hommes, les centaines de tonnes de matériel et de tissus voyageaient par bateau.
Sur la terre ferme, une simple tourelle. Dedans, deux hommes. Rien, absolument rien par rapport aux immenses armées ennemies. Mais ces hommes avaient la vue perçante.
"Va prévenir notre maître que les ennemis arrivent. Et pour lui-même il ajouta : Et que Dieu nous vienne en aide."
Le soldat courait à pied jusqu'au palais. Il déclina son identité aux hommes de garde et alla trouver l'Incomparable, tout de fer vêtu. Son armure était d'un noir de jais mais différente de celle qu'il portait habituellement. Celle ci portait des épaulières plus larges ainsi que des genouillères plus en avant. Le casque était très étrange, beaucoup plus grand que la tête de l'ancien croisé.
Il écouta le récit du soldat. Puis il décida de tenter le tout pour le tout afin de ralier tout le monde à sa cause. Il fit envoyer plusieurs crieurs publics. Puis il alla trouver les autres seigneurs présents dans le château. Eragon de Vark était assit, apparement calme mais tendu tout de même. Il était sur une chaise, dans ses habits de combat, une légère côte de mailles, son épée au pommeau incrusté d'un saphir bleu rangée dans son fourreau. Son frère Askor était auprès de lui, terrifié. Varius était avec ces deux hommes. Son armure si elle était impressionante, ne l'était pas tant que celle de l'Incomparable. Mekann était lui aussi dans la pièce. Il s'occupait à ingurgiter son dernier repas. Il était aussi armé, un plastron avec ses couleurs ainsi que des protections aux jambes. La visière de son casque était relevée. Il pouvait boire et mangeait. Il vidait les dernères réserves du château. Il n'y aurait pas de siège. Les ennemis avaient une assez grande puissance pour pouvoir entrer sans crainte.

15 heures
Les assaillants débarquaient. Le soldat de garde dans le poste avancé était effrayé. Voici ses derniers écrits :
"Mon amour, ma fille, mes fils.
Votre père va mourir en ce jour pour vous. Soyez fiers de cet homme qui vous quitte. Il va mourir pour une cause noble."
Cet homme rassembla son courage. Il était prit d'une folie qu'avait accentué une certaine pensées pour sa famille. Il alluma une torche et mit feu à la tour de garde côte afin de signaler la venue des ennemis. Le signal capta l'attention de tout le monde en Edenia. Les adversaires se tournèrent. Ce qu'ils virent les déboussola : un homme, seul, armé d'une épée courte qui leur fonçait dessus. Cet homme arrivait sur eux. Il n'était qu'à trente pieds des ennemis. Mais il n'alla pas plus loin. Il se prit une flèche en plein coeur.
"Bon sang ! Trop tard ! impossible de les prendre par surprise, maintenant. EN AVANT !!!"
L'armée se mit en marche. Le colosse se mit lentement en marche. Sa tête menaçante se glissait partout dans les feuillages, prête à prendre ses proies par surprise.

TOUTE LA SOIREE
Les seigneurs edeniens étaient vaincus, qu'elle que soit leur importance. Les seigneurs se rendaient avec plus ou moins de résistance. Mais, loyalement
Nous citerons quelques combats, comme celui que livra le seigneur Altar face au gros des troupes. Durant ce combat, cent mille flèches furent tirées par les hommes d'Altar. Deux cent mille furent tirées, avec beaucoup plus de pussance, par les assaillants. Pluis, Les deux cent mille maures entrèrent à la suite, ravageant tout, violant les femmes, massacrant les hommes.
Syllas, plus loin, subit la même défaite. Les combats furent rudes mais les assaillants remportèrent la victoire une fois de plus, mettant tout à feu et à sang..

Et ils discutèrent au calme...pour la première fois. Ils étaient dans les mêmes conditions. Plus de supériorité. Ils étaient deux. Seuls. Le pouvoir n'avait plus de sens pour eux. Pendant ce temps, d'autres seigneurs étaient vaincus.
Mais le dernier combat restait à venir...

19 heures
Plusieurs factions edeniennes se tenaient dans le palais erenold. Les seigneurs avaient disposé leurs troupes comme le leur avait indiqué l'Incomparable.
Les adversaires étaient aux portes. Aucun combattant edenien sur les remparts. A l'intérieur, la tension était à son comble.
Dans la salle de réunion se tenaient l'Incomparable et ses alliés. L'ancien croisé tenait conseil avec ses alliés. Alliés de douleur, du moins.
Voilà comment se déroula le combat :

A 19 heures, les assaillants attaquèrent. Plusieurs milliers s'empalèrent sur les pièges. Les survivants maures voyaient leurs camarades se faire massacre par absolument rien de vivant. L'enfer se déchainait sur eux. Au bout d'une demi-heure et un quart des hommes en moins, ils arrivèrent à hauteur des murs du château.
Dès leur entrée, les tapisseries enflammées leur tombèrent dessus. Les flèches incomparables, Varkiennes, Merkanniennes et erenold tombaient sans que les maures aient le temps même de bander leurs arcs pour décocher en direction des adversaires edeniens.
Pendant que les assaillants pédestres entraient dans le château, l'Incomparable sortit de ce lieu sur, indifférent aux cris de Charles. Les cornacs tendirent leurs arcs en sa direction. Six cent flèches piquèrent sur lui. Il dressa son bouclier. La force des arcs à double courbure était telle que le valeureux combattant recula. Mais il put quand même déclencher les "mise à feu" des lances flèches. L'Incomparable coura jusqu'au palais où il fut acclamé par ses hommes ainsi que par Charles et Eragon.
"Vite ! A la salle de défense !"
Ils coururent jusqu'à la salle. En dehors de cette salle, les archers edeniens se faisaient massacrer. Les maures étaient montés jusqu'aux corniches et avaient déchiqueté tout ce qui passait.
19 heures et 50 minutes.

Il ne restait plus que cinquante mille hommes, les edeniens soudoyés étant tous morts. Ils se rasemblèrent devant la salle. Aussitôt, la boule tomba. Mille hommes périrent, écrasés par les douze tonnes de pierre. Les lance flamme se mirent en action. Ils firent des pertes aux assaillants. Mais ceux-ci atteignirent la salle. Il leur fallu tout de même cinq minutes pour défoncer la porte. Dedans, les seigneurs se préparèrent à livrer leur dernier combat. Mais à cet instant, tout s'arrêta. Les assaillants n'entrèrent pas. Alors, Charles, poussé par la peur, tira son épée de son fourreau et fonça sur l'ennemi. Il combattit. A lui de vaincre les ennemis. A lui de défendre son maître. Le combat fut dur, âpre, inégal...d'ailleurs, après trente secondes de combat, il se fit décapiter. Charles. Mort.

19 heures 55 minutes.

"NOOOOOOOON CHARLES !!!!!!"
L'Incomparable se rua sur l'ennemi. Mais les armées s'écartèrent pour laisser place à deux personnes. Un homme et une femme. Il les aperçu une fraction de seconde. Puis il fut assomé.
20 Heures. Plage d'Edenia.
Tout les survivants maures étaient présents sur la plage. Cela représentait quarante mille hommes. Tout les survivants edeniens se trouvaient enchaînés. Les soldats maures formaient un cercle, autours de deux hommes.
Le maure prit la parole.
"Durant les croisades, tu as tué plusieurs de mon sang. Vous avez débarqué avec vos troupes sur nos terres. Vous avez massacré les femmes et les enfants, violé les hommes...euh...enfin le contraire mais bon...

Les armes furent distribuées. L'Incomparable prit une épée à deux mains
. Le combat commença.
Ils parèrent, attaquèrent, parèrent... quel merveilleux combat ! Mais l'Incomparable était usé par les années. Au bout de vingt minutes, il fit faute. Il se lança en avant comme un fou desespéré. Ce dernier mourut. Ainsi fut la mort d'un des plus grands combattants d'edenia.
Tous partirent, de gré ou de force. En quelques minutes, la plage était vidée. Le cadavre restait seul. La plage fut vide pendant quelques minutes.
Puis, une forme apparut au lointain. La forme s'aggrandissait au fur et à mesure...

Edenia. 20 heures et trente minutes.
Les chefs des villages et villes étaient choisis. Tous étaient arabes, prenant le pouvoir dans les villages dévastes

Point de vue de Syllas

Syllas remercia Eora puis prit congé. Mais avant de partir, il se retourna et déclara :

«Je suis désolé pour la mort de l'Incomparable. Mais je pense qu'il ne revait pas d'autre fin...»

Puis il rentra dans son fief en compagnie de son général et des quelques dizaines d'Erenolds encore en vie...
Tout n'était que poussières et cendres. Et l'odeur de sang emplissait la province d'Ythaq.
Tout avait été ravagé, et tous étaient morts.

Luttant contre la faiblesse qui le tenaillait et ses nombreuses blessures, le seigneur Erenold tenta de se rappeler de ce qui s'était passé...

Une partie de l'armée des sarrasins s'était rendu aux portes de la cité d'Ythaq...
Alors que les archers Erenolds, les machines de guerres et les soldats se préparaient sur les remparts, l'assaut avait été lancé...

Tous les maures s'étaient lancés à l'assaut des fortifications et la grèle de flèches et de rochers qu'ils avaient subis ne les avaient même pas ralentis...

Une heure après que les combats sur les remparts aient commencés, une brèche avait été ouverte dans le mur et l'armée sarrasine s'y était déversé...

Les combats continuaient dans les rues. La population terrifiée courait vers le fort des Erenold pour s'y réfugier...
Pendant ce temps, Syllas montait à l'assaut, accompagné de sa garde, pour aider à la défense...

Ils combattaient depuis longtemps. Des 40 000 soldats Erenolds, il ne restait que 5 000. Mais toute reddition était impossible. Alors, les cavaliers d'Ythaq avaient chargés une dernière fois dans les rangs ennemis et Syllas avait ordonné la retraite vers le second et dernier rempart...

Ils n'étaient plus que quelques centaines. Ils avaient barricadés les portes du fort et envoyaient leurs dernières flèches depuis les meurtrières...

Un moment de répit... puis le chaos !
Les portes avaient cédées, l'armée ennemie s'infiltrait de toute part...

Syllas, son général et les vingt derniers soldats Erenolds étaient rassemblés devant les portes qui menaient aux abris des hommes et des femmes d'Ythaq.
L'armée arrivait... Pour la dernière fois, ils chargèrent pour la repousser...

...

Syllas se réveilla au milieu d'un cercle de soldats ennemis. Alors qu'il se relevait, un général s'approcha de lui et lui cria dans une langue que Syllas put comprendre :

«Vous avez été vaincus ! Vous et vos quelques survivants deviendrez nos esclaves ! Mais nous sommes magnanimes ! Qu'elle est votre dernière volonté d'homme libre ?»

«Je dirais vous tuer... Mais je doute que vous ne me le permettiez. Amenez-moi devant le fief du seigneur Arioch. Je veux assister à son combat ».

Il avait assisté à la chute de ce seigneur... et avait compatit. Mais il avait presque perdu tout espoir.

Le salut avait surgi durant la nuit... et maintenant il était libre.

«Sire, que faisons-nous ?» demanda le général d'Ythaq.

«On enterre les morts... et on recommence tout...»

Point de vue d'Arioch


Celà avait commencé par des milliers d'assassinats dans les rues. Les gens tombaient chaque nuit et personne n'était à l'abri. Les milliers de sentinelles ne pouvaient controler toutes les rues de la metropole.

Puis des milliers de désertions vinrent dans les rangs des ouvriers. Quelqu'un était derrière tout celà.

Les espions d'Arioch suivirent le flot des deserteurs qui les amenèrent tout droit vers la cité de Santa Maria.

Alors Arioch devint fou furieux par la traitrise de son ancienne alliée. Il envoya l'host entier faire le siège de sa forteresse.

Des milliers d'hommes des deux camps perirent dans le premier assaut, les trois autres furent un veritable génocide dans le rang de la traitresse. Des milliers furent capturés et mis en esclavage. Et malgré tout les assassinats continuaient encore et toujours.

C'est dans ces moments troublés qu'ils vinrent tout ravager.

Les armées du Sud se deversèrent et vomirent leurs hordes partout.

Les remparts de la métropole d'Arioch tombèrent et un combat titanesque s'ensuivi. Affaiblie par le combat vengeur contre Santa Maria, l'armée d'Arioch fut anéantie. La ville fut brulée et les survivants se dispersèrent...

Une caravane de marchands vint sur les lieux du drame quelques jours après pour récupérer ce qu'ils pouvaient des ruines. Un jeune enfant cachés dans les décombres de la citadelle.

Elle était une des anciennes maitresses de l'ancien seigneur. Et le jeune garcon, le seul héritier du seigneur Arioch...

L'histoire pouvait recommencer !

Point de vue d'Eragon de Vark

Eragon n'en revenait pas de voir autant d'hommes, il avait longtemps pensé que l'Incomparable fantasmait beaucoup... mais avant même que le combat commence il comprit que la fin était proche :

- Askor prend le plus rapide de nos chevaux, prévient ceux qui restent, préviens tu sais qui...
- Et toi ??? s'écrie Askor
il regarde les maures arrivé par milliers:
- je ne changerais pas grand chose ce soir, mais il est de mon devoir d'être à côté de mes hommes !
Askor était habitullement le plus combatif des deux mais là son visage était livide, il avait peur, vraiment peur.

Askor s'exécuta laissant Varius, Eragon et mille soldats.

L'armée de Vark foudroya les défenses ennemi mais pour une courte durée, une seule offensive mais trop peu d'hommes, tous tombaient les uns derrière les autres.

A la fin des combats rare sont les soldats qui restaient debout qu'il soit d'erenold, de vark ou de l'Incomparable...

Varius en sang regardait autour de lui, il vu Syllas se faire capturer, ou est Eragon ?
Un groupe de soldat maure s'approchent de lui, le croyant résigné à ce rendre, mais mal leur en a pris il s'élença sur les plus proches mais il ne réussira tout au plus à en tuer deux de plus avant de sombrer sur les coups de ses adversaires.

Voila j'ai recopié vos rps , la fin je ne peux malheureusement pas la copier , c'est surtout l'histoire de 'lIncomparable sinon Arioch ton texte le 2nd ressemble beaucoup au mien

Felicitations a L'incomparable pour ces textes intenses et vibrants ^^ mais aussi syllas et Eragon

Vous allez pouvoir exercer vos plumes tres bientot

hrp : je reprend les messages de la biblio qui permettent de suivre... un peu tout ça... je pense que c'est plus logique il faudre detruire ceux de la biblio c'est plus logique...

La cité du seigneur Vark

La cité de Vark ? on pouvait se demandé si il y avait eu une ville à cet endroit...
La désolation de ce lieu pourtant reculé des grandes cité n'a pas été épargné...

Les survivants au nombres de 8...

Le bras droit d'Askor, François de Sar, 6 jeunes villageois, 1 soldat
Aucun ne prononcait un mot,
François coupa le silence mortuaire qui régnait...
- Mais qu'est ce qui nous est arrivé ! C'est quand même pas Thazar???
- Non ! répond un villageois

les regards se tournèrent vers lui:

Eh ben avec les copains ont était pas pressé de rentré et on a vu les soldats de Thazar arrivé, deux d'entre nous sont partis prévenir la garde... mais ils ont eu le temps d'attaquer, nous nous sommes cachés... pendant le siège nous avons vu Askor arrivé seul à cheval, il a été fait prisonnier, il criait, il voulait absolument parler à thazar il lui parlait d'alliance pour tous survivre, que le moment était grave !

il reprit son soufle

Alors que Thazar s'appétait à partir après ses assauts, des milliers d'hommes sont arrivés l'attaqué, on cru que c'était les Alchimiste quinous venait en aide, mais ensuite ils ont foncé eux aussi sur la ville !

François restait sans voix, sans explication non plus, il pris la parole

- Ecouté nous ne sommes plus que 8 , sans chef, sans personne, il faut aller prévenir Altar, il faut aller en ville, après chacun devra se reconstruire ailleurs, ici c'est, c'est terminé..
- Et Eragon??? il va revenir avec les soldats s'écrit l'autre soldat !
- Eragon est partie aux joutes, plus de nouvelle, un message grave nous parvient de la part de l'Incomparable, nos hommes partes, seul Askor revient... c'était peut-être un piège, je n'ai pas bon espoir...

A ces mots terrifiant, tout le monde restait silencieux

L'Incomparable ne nous aurais jamais trahi !
C'est acquiesa François, il faut donc aller le voir à son fief

***

Le route fut longue et à pied sans chevaux
La surprise fut de taille pour François, il connaissait la cité de l'Incomparble et il croyait revoir la ville qu'il avait quitté...la terreur se lisait dans ses yeux.

Il marcha en direction d'un groupe de gens qu'il apreçu, ici il semblait déjà y avoir plus de survivants.

La cité de l'Incomparable

Effectivement, dans l'ancienne cité de Yerous Halem, tout n'était que ruine. Seuls, quarante hommes vivaient. Mais tous fuyèrent dès qu'ils virent les hommes. Ils croyaient que c'était des sarrasins. Ils marchaient sur les cadavres, glissant sur le sang. Ils arrivèrent à une cache. Impossible qu'on les trouve ici.

L'ancienne cité était en cendres. Tout était mort. Les poutres de bois étaient un peu debout, les maisons brulées. La forge de l'Incomparable était vide : les maures y étaient entrés. ils avaient tout saccagé. Tout était vide dans cette forge. Les armes extraordinaires sur lesquelles travaillait l'Incomparable avaient disparu. Elles devaient être éparpillées à travers tout le village.
Les murs avaient été détruits à coup d'éléphant. Rien ne fut laissé. Les villageois étaient soit écrasés, soit taillés par les sabres, soit empalés sur des carreaux de balistes. La nuit avait du être terrifiante.

Le palais erenold n'était pas plus reluisant. Des brèches avaient été ouvertes dans les murailles. les tours étaient par terre, brisées par les trébuchets. Des gravats partout. Des lames sortaient de tout côtés dans le parc. Lames remplies de sang, comme si des hommes avaient été empalés dessus. Et pourtant, une fête s'y était déroulé.

Le calme était revenu sur edenia. Seul, la terreur, la destruction restaient. Le fléau de la guerre avait frappé.

François s'aperçu qu'il terrifiait les survivants il cria:

Je suis un Soldat De Vark, je viens en paix !

mais ou sont-ils passés???

Seigneur Incomparable nous aussi on a été rasé ! QUE SE PASSE-T-IL ???!!!

il attend restant sur place, il pris son glaive le lança à terre, il s'avança encore, il regarde, il attend encore

****

Finalement un homme s'avança vers lui avec un glaive mais ce n'étais pas un chevalier, ni un soldat, un homme désamparé, terrifié.

Ils parlèrent, longtemps, François s'écroule. Il vient de comprendre la tragédie, il n'avait plus de seigneur.

****

Avec ses compagnons d'infortunes, ils prirent la décision de se reconstruire avec les survivant de l'Incomparable et d'avancé ensemble, seul François qui pensait encore êtres utiles dans les rang des Alchimistes ne les suivra pas. La désilusion fut grandre il rejoint alors Syllas et ses hommes.

Le temps avait passé depuis l'attaque des barbares. Mais une question restait dans l'esprit de Syllas :

"Pourquoi Santa Maria nous a-t-elle trahie ?"

Mais cette question restait sans réponses et les quelques agents que Syllas avait dépéché dans l'ancienne cité de Santa n'avaient rien trouvés.
Cela faisait maintenant 2 ans, et toujours aucune réponse ne venait à l'esprit de Syllas.
Finalement, il prit sa décision. Le soir, il réunit 5 chevaliers, les seuls qui avient survécus, et leur transmi ses ordres.

"Vous allez partir sur les ancinnes traces de dame Santa. Suivez le même chemin que ses troupes, renseignez-vous sur leur passage, retrouvez leurs traces puis retrouvez Santa Maria elle-même et découvrez les raisons de sa trahison. Ne revenez qu'une fois votre mission accomplie !"

Puis les 5 cavaliers partirent sous le regard de Syllas.


HRP : la curiosité Erenold...