Tournoyant dans les marées humaines, le fer emporte divers membres à chaque mouvement. Le vin christien* jaillit de toutes parts, éclaboussant le bâton justicier. Mais le métal ne s'en occupe pas. Il ne tire aucune gloire de ses victoires immédiates. Il ne gagnera que lors du dernier souffle de vie de la partie vaincue. Alors, l'arme si terrible sera rangée dans son palais étroit, né de la même essence que lui.
Cela, l'épée va le répéter maintes et maintes fois, au fil des générations de nobles ou de moins nobles êtres. Etres compréhensifs, craignant cette puissance destructrice, ou êtres vils et stupides croyant être maîtres d'une telle puissance.