Edénia
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Edénia

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 le raz rp

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L'Incomparable

L'Incomparable


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MessageSujet: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeMer 26 Mar - 7:53

25 Mars 1208 au matin. Plages Edeniennes.
L'horizon. Vide. Une immense étendue bleue. Soudain, une immense ligne d'une couleurs indéfinissables.
Plusieurs centaines de navires. Ils n'étaient pas tous sarrasins. Se trouvaient engagés dans cette immense entreprise de conquête des égyptiens et des perses. Les navires voguaient depuis plusieurs mois. Aucun soldat n'arrivait par voie de terre. Les milliers d'hommes, les centaines de tonnes de matériel et de tissus voyageaient par bateau.
Sur la terre ferme, une simple tourelle. Dedans, deux hommes. Rien, absolument rien par rapport aux immenses armées ennemies. Mais ces hommes avaient la vue perçante.
"Va prévenir notre maître que les ennemis arrivent. Et pour lui-même il ajouta : Et que Dieu nous vienne en aide."
Le soldat courait à pied jusqu'au palais. Il déclina son identité aux hommes de garde et alla trouver l'Incomparable, tout de fer vêtu. Son armure était d'un noir de jais mais différente de celle qu'il portait habituellement. Celle ci portait des épaulières plus larges ainsi que des genouillères plus en avant. Le casque était très étrange, beaucoup plus grand que la tête de l'ancien croisé.
Il écouta le récit du soldat. Puis il décida de tenter le tout pour le tout afin de ralier tout le monde à sa cause. Il fit envoyer plusieurs crieurs publics. Puis il alla trouver les autres seigneurs présents dans le château. Eragon de Vark était assit, apparement calme mais tendu tout de même. Il était sur une chaise, dans ses habits de combat, une légère côte de mailles, son épée au pommeau incrusté d'un saphir bleu rangée dans son fourreau. Son frère Askor était auprès de lui, terrifié. Varius était avec ces deux hommes. Son armure si elle était impressionante, ne l'était pas tant que celle de l'Incomparable. Mekann était lui aussi dans la pièce. Il s'occupait à ingurgiter son dernier repas. Il était aussi armé, un plastron avec ses couleurs ainsi que des protections aux jambes. La visière de son casque était relevée. Il pouvait boire et mangeait. Il vidait les dernères réserves du château. Il n'y aurait pas de siège. Les ennemis avaient une assez grande puissance pour pouvoir entrer sans crainte.

15 heures
Les assaillants débarquaient. Le soldat de garde dans le poste avancé était effrayé. Voici ses derniers écrits :
"Mon amour, ma fille, mes fils.
Votre père va mourir en ce jour pour vous. Soyez fiers de cet homme qui vous quitte. Il va mourir pour une cause noble."
Cet homme rassembla son courage. Il était prit d'une folie qu'avait accentué une certaine pensées pour sa famille. Il alluma une torche et mit feu à la tour de garde côte afin de signaler la venue des ennemis. Le signal capta l'attention de tout le monde en Edenia. Les adversaires se tournèrent. Ce qu'ils virent les déboussola : un homme, seul, armé d'une épée courte qui leur fonçait dessus. Cet homme arrivait sur eux. Il n'était qu'à trente pieds des ennemis. Mais il n'alla pas plus loin. Il se prit une flèche en plein coeur.
"Bon sang ! Trop tard ! impossible de les prendre par surprise, maintenant. EN AVANT !!!"
L'armée se mit en marche. Le colosse se mit lentement en marche. Sa tête menaçante se glissait partout dans les feuillages, prête à prendre ses proies par surprise.

TOUTE LA SOIREE
Les seigneurs edeniens étaient vaincus, qu'elle que soit leur importance. Les seigneurs se rendaient avec plus ou moins de résistance. Mais, loyalement, les débarquants laissaient vivre quarante hommes dans chaque ville, pour les tenir en esclavage. D'autres étaient enrôlés de force dans les armées assaillantes.
Nous citerons quelques combats, comme celui que livra le seigneur Altar face au gros des troupes. Durant ce combat, cent mille flèches furent tirées par les hommes d'Altar. Deux cent mille furent tirées, avec beaucoup plus de pussance, par les assaillants. Pluis, ceux ci envoyèrent les terribles éléphants perses défoncer les murailles. Les deux cent mille maures entrèrent à la suite, ravageant tout, violant les femmes, massacrant les hommes. Dans toutes es provinces, ils laissèrent un éléphant pour ravager les villes tous seuls.
Syllas, plus loin, subit la même défaite. Les combats furent rudes mais les assaillants remportèrent la victoire une fois de plus, mettant tout à feu et à sang. Mais Syllas demanda une dernière faveur au chef maure d'assister à la défaite du seigneur Arioch. Et il put, quelques minutes plus tard, admirer combien les bâtiments de ce seigneur brûlaient bien. Ils se retrouvèrent dans le même chariot fortifié.
"Bon. Maintenant, on va pouvoir s'expliquer entre hommes puisqu'ils nous ont ôté nos chaînes"
Et ils discutèrent au calme...pour la première fois. Ils étaient dans les mêmes conditions. Plus de supériorité. Ils étaient deux. Seuls. Le pouvoir n'avait plus de sens pour eux. Pendant ce temps, d'autres seigneurs étaient vaincus.
Mais le dernier combat restait à venir...

19 heures
Plusieurs factions edeniennes se tenaient dans le palais erenold. Les seigneurs avaient disposé leurs troupes comme le leur avait indiqué l'Incomparable.
Les adversaires étaient aux portes. Aucun combattant edenien sur les remparts. A l'intérieur, la tension était à son comble.
Dans la salle de réunion se tenaient l'Incomparable et ses alliés. L'ancien croisé tenait conseil avec ses alliés. Alliés de douleur, du moins.
Voilà comment se déroula le combat :

A 19 heures, les assaillants attaquèrent. Plusieurs milliers s'empalèrent sur les pièges. Les survivants maures voyaient leurs camarades se faire massacre par absolument rien de vivant. L'enfer se déchainait sur eux. Au bout d'une demi-heure et un quart des hommes en moins, ils arrivèrent à hauteur des murs du château.
Dès leur entrée, les tapisseries enflammées leur tombèrent dessus. Les flèches incomparables, Varkiennes, Merkanniennes et erenold tombaient sans que les maures aient le temps même de bander leurs arcs pour décocher en direction des adversaires edeniens.
Pendant que les assaillants pédestres entraient dans le château, l'Incomparable sortit de ce lieu sur, indifférent aux cris de Charles. Il alla droit sur le chemin principal, à pied, face aux 480 éléphants restant. Les cornacs tendirent leurs arcs en sa direction. Six cent flèches piquèrent sur lui. Il dressa son bouclier. La force des arcs à double courbure était telle que le valeureux combattant recula. Mais il put quand même déclencher les "mise à feu" des lances flèches. Les éléphants tombèrent, dans un vacarme assourdissant. Les cornacs mouraient. L'Incomparable coura jusqu'au palais où il fut acclamé par ses hommes ainsi que par Charles et Eragon.
"Vite ! A la salle de défense !"
Ils coururent jusqu'à la salle. En dehors de cette salle, les archers edeniens se faisaient massacrer. Les maures étaient montés jusqu'aux corniches et avaient déchiqueté tout ce qui passait.
19 heures et 50 minutes.
Les maures se refesaient. Ils avaient perdu deux cent cinquante mille hommes plus cinq cents éléphants. Il ne restait plus que cinquante mille hommes, les edeniens soudoyés étant tous morts. Ils se rasemblèrent devant la salle. Aussitôt, la boule tomba. Mille hommes périrent, écrasés par les douze tonnes de pierre. Les lance flamme se mirent en action. Ils firent des pertes aux assaillants. Mais ceux-ci atteignirent la salle. Il leur fallu tout de même cinq minutes pour défoncer la porte. Dedans, les seigneurs se préparèrent à livrer leur dernier combat. Mais à cet instant, tout s'arrêta. Les assaillants n'entrèrent pas. Alors, Charles, poussé par la peur, tira son épée de son fourreau et fonça sur l'ennemi. Il combattit. A lui de vaincre les ennemis. A lui de défendre son maître. Le combat fut dur, âpre, inégal...d'ailleurs, après trente secondes de combat, il se fit décapiter. Charles. Mort.
19 heures 55 minutes.
"NOOOOOOOON CHARLES !!!!!!"
L'Incomparable se rua sur l'ennemi. Mais les armées s'écartèrent pour laisser place à deux personnes. Un homme et une femme. Il les aperçu une fraction de seconde. Puis il fut assomé.
20 Heures. Plage d'Edenia.
Tout les survivants maures étaient présents sur la plage. Cela représentait quarante mille hommes. Tout les survivants edeniens se trouvaient enchaînés. Les soldats maures formaient un cercle, autours de deux hommes.
Le maure prit la parole.
"Durant les croisades, tu as tué plusieurs de mon sang. Vous avez débarqué avec vos troupes sur nos terres. Vous avez massacré les femmes et les enfants, violé les hommes...euh...enfin le contraire mais bon... Tu as séduit ma mère dans le seul but de t'évader. Tu lui a fait un enfant : moi. Je suis Hakim ben Kalish, fils de l'émir Ben Kalish Ezab. Et je te tuerais. En duel.
-Tu sais parfaitement que c'est faux. Je n'ai pas massacré. J'étais au contraire contre ces tueries. Mais j'accepte le duel."
Les armes furent distribuées. L'Incomparable prit une épée à deux mains pendant que Hakim prenait un sabre maure. Le combat commença.
Ils parèrent, attaquèrent, parèrent... quel merveilleux combat ! Mais l'Incomparable était usé par les années. Au bout de vingt minutes, il fit faute. Il se lança en avant comme un fou desespéré. Hakim évita la lame menaçante et en profita pour trancher sur l'Incomparable. Ce dernier chancela. Hakim fondit sur lui, sabre levé. Il abattit son arme sur le crâne de son père. Ce dernier mourut. Ainsi fut la mort d'un des plus grands combattants d'edenia.
Tous partirent, de gré ou de force. En quelques minutes, la plage était vidée. Le cadavre restait seul. La plage fut vide pendant quelques minutes.
Puis, une forme apparut au lointain. La forme s'aggrandissait au fur et à mesure...

Edenia. 20 heures et trente minutes.
Les chefs des villages et villes étaient choisis. Tous étaient arabes, prenant le pouvoir dans les villages dévastés. Dans chaque village, seul quarante hommes vivaient, laissés en vie par les combattants.


Dernière édition par l'Incomparable le Jeu 27 Mar - 3:03, édité 1 fois
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Syllas d'Erenold

Syllas d'Erenold


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MessageSujet: Re: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeMer 26 Mar - 7:55

Syllas remercia Eora puis prit congé. Mais avant de partir, il se retourna et déclara :

«Je suis désolé pour la mort de l'Incomparable. Mais je pense qu'il ne revait pas d'autre fin...»

Puis il rentra dans son fief en compagnie de son général et des quelques dizaines d'Erenolds encore en vie...
Tout n'était que poussières et cendres. Et l'odeur de sang emplissait la province d'Ythaq.
Tout avait été ravagé, et tous étaient morts.


Luttant contre la faiblesse qui le tenaillait et ses nombreuses blessures, le seigneur Erenold tenta de se rappeler de ce qui s'était passé...

Une partie de l'armée des sarrasins s'était rendu aux portes de la cité d'Ythaq...
Alors que les archers Erenolds, les machines de guerres et les soldats se préparaient sur les remparts, l'assaut avait été lancé...


Tous les maures s'étaient lancés à l'assaut des fortifications et la grèle de flèches et de rochers qu'ils avaient subis ne les avaient même pas ralentis...

Une heure après que les combats sur les remparts aient commencés, une brèche avait été ouverte dans le mur et l'armée sarrasine s'y était déversé...

Les combats continuaient dans les rues. La population terrifiée courait vers le fort des Erenold pour s'y réfugier...
Pendant ce temps, Syllas montait à l'assaut, accompagné de sa garde, pour aider à la défense...

Ils combattaient depuis longtemps. Des 40 000 soldats Erenolds, il ne restait que 5 000. Mais toute reddition était impossible. Alors, les cavaliers d'Ythaq avaient chargés une dernière fois dans les rangs ennemis et Syllas avait ordonné la retraite vers le second et dernier rempart...

Tout à coup, un éléphant de guerre avait surgi au devant de l'armée maure et commençait à balayer les soldats. Ils ne fit que quelques pertes, une flèche enflammée dans chaque oeil et dans sa bouche le firent tomber. Les archers qui avaient tirés moururent, percés par une volée de flèches...

Ils n'étaient plus que quelques centaines. Ils avaient barricadés les portes du fort et envoyaient leurs dernières flèches depuis les meurtrières...

Un moment de répit... puis le chaos !
Les portes avaient cédées, l'armée ennemie s'infiltrait de toute part...

Syllas, son général et les vingt derniers soldats Erenolds étaient rassemblés devant les portes qui menaient aux abris des hommes et des femmes d'Ythaq.
L'armée arrivait... Pour la dernière fois, ils chargèrent pour la repousser...

...

Syllas se réveilla au milieu d'un cercle de soldats ennemis. Alors qu'il se relevait, un général s'approcha de lui et lui cria dans une langue que Syllas put comprendre :


«Vous avez été vaincus ! Vous et vos quelques survivants deviendrez nos esclaves ! Mais nous sommes magnanimes ! Qu'elle est votre dernière volonté d'homme libre ?»
«Je dirais vous tuer... Mais je doute que vous ne me le permettiez. Amenez-moi devant le fief du seigneur Arioch. Je veux assister à son combat ».

Il avait assisté à la chute de ce seigneur... et avait compatit. Mais il avait presque perdu tout espoir.
Le salut avait surgi durant la nuit... et maintenant il était libre.


«Sire, que faisons-nous ?» demanda le général d'Ythaq.
«On enterre les morts... et on recommence tout...»
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Eragon de Vark

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MessageSujet: Re: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeMer 26 Mar - 9:11

Eragon n'en revenait pas de voir autant d'hommes, il avait longtemps pensé que l'Incomparable fantasmait beaucoup... mais avant même que le combat commence il comprit que la fin était proche :

- Askor prend le plus rapide de nos chevaux, prévient ceux qui restent, préviens tu sais qui...
- Et toi ??? s'écrie Askor
il regarde les maures arrivé par milliers:
- je ne changerais pas grand chose ce soir, mais il est de mon devoir d'être à côté de mes hommes !
Askor était habitullement le plus combatif des deux mais là son visage était livide, il avait peur, vraiment peur.

Askor s'exécuta laissant Varius, Eragon et mille soldats.

L'armée de Vark foudroya les défenses ennemi mais pour une courte durée, une seule offensive mais trop peu d'hommes, tous tombaient les uns derrière les autres.

A la fin des combats rare sont les soldats qui restaient debout qu'il soit d'erenold, de vark ou de l'Incomparable...

Varius en sang regardait autour de lui, il vu Syllas se faire capturer, ou est Eragon ?
Un groupe de soldat maure s'approchent de lui, le croyant résigné à ce rendre, mais mal leur en a pris il s'élença sur les plus proches mais il ne réussira tout au plus à en tuer deux de plus avant de sombrer sur les coups de ses adversaires.
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arioch

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MessageSujet: Re: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeMer 26 Mar - 9:27

Celà avait commencé par des milliers d'assassinats dans les rues. Les gens tombaient chaque nuit et personne n'était à l'abri. Les milliers de sentinelles ne pouvaient controler toutes les rues de la metropole.

Puis des milliers de desertions vinrent dans les rangs des ouvriers. Quelqu'un était derrière tout celà.

Les espions d'Arioch suivirent le flot des deserteurs qui les amenèrent tout droit vers la cité de Santa Maria.

Alors Arioch devint fou furieux par la traitrise de son ancienne alliée. Il envoya l'host entier faire le siège de sa forteresse.

Des milliers d'hommes des deux camps perirent dans le premier assaut, les trois autres furent un veritable génocide dans le rang de la traitresse. Des milliers furent capturés et mis en esclavage. Et malgré tout les assassinats continuaient encore et toujours.

C'est dans ces moments troublés qu'ils vinrent tout ravager.

Les armées du Sud se deversèrent et vomirent leurs hordes partout.

Les remparts de la métropole d'Arioch tombèrent et un combat titanesque s'ensuivi. Affaiblie par le combat vengeur contre Santa Maria, l'armée d'Arioch fut anéantie. La ville fut brulée et les survivants se dispersèrent...

Une caravane de marchands vint sur les lieux du drame quelques jours après pour recuperer ce qu'ils pouvaient des ruines. C'est là qu'ils decouvrirent une femme et son jeune enfant cachés dans les decombres de la citadelle.

Elle était une des anciennes maitresses de l'ancien seigneur. Et le jeune garcon, le seul héritier du seigneur Arioch...

L'histoire pouvait recommencer !
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arioch

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MessageSujet: Re: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:17

"Et malheureusement ils arivèrent
Avec leur coeur empli de haine,
Nous fourbis de peine
Nous les attendions sur les Rives du Tonnerre."

extrait du poème de Xiom'Barg la folle


Et ils continuèrent sur leur lancée... De villages en citées ils détruisirent la cité assiégée de Santa Maria.

Nul ne sait ce que devint cette femme enigmatique et emplie de charmes.
Certains pensent qu' Arioch la tua de ses propres mains mais d'autres disent qu'ils l'ont vu chevaucher au crépuscule sur un pur sang sombre comme la nuit.


Ce qu'il advint ensuite fut une légende pour certains, pour d'autres tout simplement l'Histoire.

Le grand seigneur Altar avec les restes des armées Alchimistes et de l'Alliance firent un front commun sur les contreforts des rives du Tonnerre.
On vit des étendards comme ceux d'Arutha ou même des independants comme ceux de Khorok.
Tous faisaient front !

La cavalerie Maure chargea et rechargea durant 18 heures durant. Les lanciers tinrent bons. Et au moment de ceder....

Une armée nouvellement constituée par les jeunes seigneurs fonca sur les arrières de la caravane Mauresque attaquant l'intendance et les familles des combattants.

Voyant celà, les hommes furent emplis de panique et reculèrent en ordre dispersés afin de protéger les leurs.

C'est alors que les seigneurs d'Edenia chargèrent dans le tas et firent des ravagent dans le camp des envahisseurs.

L'armée Maure fut vaincue et repartie dans les contrées lointaines.

Les survivants se dispersèrentaprès la bataille.

Trop las de sang, de guerre. Les grands seigneurs étaient tombés et une nouvelle ère commencait.

Mais ceci n'est qu'une bataille, d'autes ont eu lieu et il est temps que les conteurs nous fassent la joie de nous transmettre leur vision de la GRANDE GUERRE.


ps : je me suis inspiré de la bataille de C.MARTEL afin que l'on conserve les memes territoires en pure logique au point de vue du jeu
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L'Incomparable

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MessageSujet: Re: le raz rp   le raz rp Icon_minitimeJeu 27 Mar - 3:06

La suite des évènements diffèrent selon les points de vue. Certains seigneurs pensent que ce sont eux qui ont vaincu. Mais voici l'histoire que nous raconte Elisabeth, et que les écrits de Syllas semblent approuver.

Citation :
Je me dirigeai vers le corp de l'Incomparable pour le mettre en terre. Je m'étais caché dans les fourrés et avait assisté à la mort du grand homme. Je l'ai évidemment mis en terre. Cela m'a pris quarante minutes. Puis je me suis tourné vers le rivage. Une immense flotte arrivait. J'ai attrappé grand peur et ai fuit vers les restes du poste avancé. Je m'y suis cachée et ce que j'ai vu m'a bouleversé : des femmes d'une grande beauté et simplement armées arrivaient. Il fesait nuit. Je n'ai pu voir de détails. J'ai simplement vu qu'elles étaient toutes blondes, de grands cheveux coulant dans leur dos.
Elles ont revêtu des habits noirs et moulant, alors je ne vis plus rien. Je devinai cependant que la troupe de femmes se dirigeait vers les terres édéniennes. Plus précisémment vers le fief de Daar Es Salaam. Elles ont escaladé les murs très discrètement en deux points, non gardés. Il n'y avait que 20 gardes sur les remparts. 20 d'entre ces femmes se sont positionnées, chacune exactement derrière chacun des vingts hommes. Puis au signal de la plus belle d'entre elles, elles ont placé un couteau sous la gorge des homes puis, d'un seul geste, on tranché les gorges. Les soldats n'ont pas eu le temps de crier. Je n'ai vu le mouvement que depuis ma cache, dans un buisson. Les autres femmes sont entrées. Je n'ai pas pu voir. Mais les cris de joie et les éclats de rire qui retentissaient dans le village se turent au même instant, quatre minutes exactement après l'égorgement des soldats.
Ces femmes sont sorties et se sont dirigées vers le fief d'Eragon de Vark.
Je suis entré dans mon village et ce que je vis m'horrifia : plus de quatre cents personnes égorgées, à terre, avec la même expression d'horreur sur le visage. Je n'essayait même pas de comprendre ce qu'il devait se passer chez Eragon.
Je me dirigeait vers les mines, enjambant les cadavres. Je les atteignai enfin. Ici, les hommes étaient enchaînés. Tous edeniens. Tous devant être esclaves. Je les libérai. Puis je m'occuppait d'eux. Ils marchaient avec difficulté mais je pu quand même les mener jusqu'au grenier, que les arabes avaient laissé en bon état pour se servir. Puis, les laissant se restaurer, je me mis en quête de la maison qui avait été mienne. Je la trouvait, incendiée. Je parcourai les décombres lorsque j'aperçut un coffre en métal. Je l'ouvrit. Dedans, il y avait des carnets. J'en ouvrit un et ce que je lis m'étonna : ces manuscrits étaient de la main de l'Incomparable. Cet immense guerrier les avait mis chez nous. Je décidai de les lire. A la vingtième page du manuscrit que je prit, voilà ce qui était écrit :
Citation :
12 Septembre 1183.
Gontrand et moi marchons en direction du pays des femmes. Ces femmes, on en a beaucoup parlé, mais personne ne les a vraiment vu. Seulement des ragots.
Une flèche est tirée. Nous nous cachons. Une voix se fait entendre. Voix féminine. Nous répondons que nous voulons voir sa patronne. Elle accepte de nous y conduire à deux conditions : qu'on ôte nos armes et qu'on accepte qu'on nous bande les yeux. Nous acceptons. Nous tenons nos armes dans une position innocente. Mais nous tenons nos boucliers levés, pour ne pas craindre une attaque traître.
Je ne connais pas le chemin que nous prenons.
Nous arrivons jusqu'à un village. On nous ôte les bandeaux. Plusieurs femmes sont autours de nous. Leur armement :
deux sabres à la ceinture
un bâton de combat dans le dos
un poignard
Leurs vêtements :
tissus verts foncés, camouflant
bandeau serre tête pour leurs cheveux.
La plupart sont blondes.

Nous voyons la cheffe de ces femmes. Magnifique. Une chevelure immense, blonde, des lèvres sensuelles, des mains caressantes, des seins très bien faits, un ventre bien formé, un corp de rêve. Elle aussi est armée, de deux sabres longs à une main, dans les fourreaux dorsaux.
Sa hutte est grande, remplie d'armes et d'écris de toutes sortes.
Elle n'est pas favorable à notre venue. Le verdict tombe : je devrai me battre en duel contre elle.
Gontrand essaie de pacifier la situation : il pense que je ne vais pas me battre contre une femme. Mais je lui rappelle ma première règle : la parité. Lors d'un combat, il n'existe pas d'hommes et de femmes. Seulement des soldats.

13 Septembre 1183
Le combat a lieu. Nous choisissons nos armes. Eora, la cheffe, prend ses deux sabres. Moi, je prend une épée courte et un bouclier.
Je passe les détails. L'Incomparable avait vaincu.
Citation :
La cheffe est à terre. Je ne la tue pas. Elle a été vaincue en duel, je dois la traîter comme telle. Elle donne l'ordre à ses femmes de nous laisser circuler.
Le village est simple. Toutes les femmes travaillent, tant au fer qu'à l'agriculture ou autres...
Il n'y a pas d'hommes. Et pourtant, il y a des enfants. Je demande cheffe. Sa réponse est effrayante : il y a treize ans, des hommes lourdement armés ont attaqué le campement. Ils les ont toutes massacrées, sauf une poignée. Mais ces hommes ont subit de lourdes pertes : pour une morte, dix morts ! Ces femmes savent se battre.

14 Septembre 1183
Les femmes ont commencé à m'apprendre certaines choses. Aujourd'hui, nous avons dressé des pièges. Pièges fictifs puisque leur campement est protégé. J'ai appris à fabriquer mon propre pic et à installer le mécanisme. Je joins un schéma.
15 Septembre 1183
J'ai appris à poser des lames d'arbres. Je n'ai pas le temps de noter car nous avons beaucoup travaillé.
On m'a prêté une hutte. Demain, je construrait la mienne.
16 Septembre 1183
Moi et quelques femmes avons construit cette hutte.
Ces femmes sont belles mais leur force de caractère est incomparable. Aucune n'est dérangée par la présence de deux hommes parmis elles. Je questionne l'une d'elles : toutes ont été mariées. Mais leurs maris ont été massacré lors de la grande tragédie. Cet homme était censé être leur allié et les protéger. Mais ces femmes lui ont plut, alors il a tourné ses armées contre elles. Les hommes sont morts l'épée à la main. Depuis, elles ont peur de tous les hommes. Mais comme je n'ai pas trahi la confiance d'Eora, elles nous acceptent. Mais détestent tous les autres hommes.
17 Septembre
J'en apprend de plus en plus ! Les pièges n'auront bientôt plus de secrets pour moi ! Aujourd'hui, les lames d'arbres. Je joint un schéma.
18 Septembre
Encore des poses de lames. J'adore cette technique. J'en fais ma spécialité.
Autre bonne nouvelle : on dirait qu'Eora n'est pas indifférente à Gontrand.
19 Septembre
Gontrand a raconté notre histoire : la vie avec Gilles, qui nous a tout apprit. Les croisades, les tortures que l'on nous a infligées. La séparation, quand je suis parti du pays arabe. Ce soir, Gontrand est resté longtemps avec Eora...
20 Septembre
Voilà. Je suis seul. Eora a conquit le coeur de Gontrand. Gontrand a conquit le coeur d'Eora.
28 Septembre
Grande nouvelle : un mariage ! Eora et Gontrand sont ensemble. Mon demi-frère et la plus belle de toutes les amazones.
J'étais bouleversée. Je courais. Je ne faisais que ça.
Je traversai le village. Les morts commençaient à sentir, mais je ne fit pas attention. Les femmes devaient comprendre. J'étais alliée à l'Incomparable. Je l'aimais. Mon coeur ne battait plus pour Charles. Cet homme est un homme bon. Mais ce n'est pas ce que je cherche. Bien que son dernier acte fut d'un courage, je ne pensais pas, à cet instant, que je l'aimerais vraiment.
J'arrivai jusqu'au fief d'Eragon. Vide de vivants. Là aussi, il ne devait y avoir que des morts. Je suivit le chemin. Bientôt, j'atteignit le fief d'Erenold. Je m'approchai lorsque soudain, un coup me fut donné à l'arrière du crâne. Je sombrai dans un coma profond.
Plusieurs heures après, je me trouvai dans le palais des Erenolds. La salle de réunion. Elle était magnifique. Il y avait des tapisseries. Des femmes magnifiques se tenaient sur les bords des salles. La plus belle de toutes était sur un fauteuil magnifique. Les seigneurs étaient devant elle, debouts. Les remerciements fusaient. Eora, la femme magnifique, dit qu'elle voulait rester. Les autres femmes dirent qu'elles devaient partir. Elle rendèrent hommage à leur cheffe. Elles reprirent les vaisseaux puis partirent pour le lointain.
Eora ne veux pas les pleins pouvoirs. Elle ne désire que le commandement du fief incomparable. La reconstruction peut commencer. Mais la vie edenienne sera-t-elle la même ?
En tout cas, je reprendrai la place de mon mari. Conseillère d'Eora.
Elisabeth de Vaganaught
Elle joint à ses écrits le bilan de l'attaque sarrasine et de la contre attaque amazone :
Citation :
Au cours de cette soirée, 1400000 personnes sont mortes environ. Durant la nuit qui suivi, 100000 personnes sont mortes. En tout, un million et demi de morts.
Avant la guerre, les nappes phréatiques étaient constituées à moitié d'eau et à moitié de sang, à cause des combats entre seigneurs. Maintenant, il y a plus de sang que d'eau. Ma mission maintenant va être de garder la paix en edenia. Comme l'aurait voulu Charles. Mais ce que je pensais a été vérifié. Les grands seigneurs se font la guerre. Tout est gagnant pour eux. Ils rasent tout. Ils s'enrichissent. Puis d'autres viennent et s'enrichissent à leur tour. Mais au milieu, les petites gens souffrent sans avoir rien demandé. Le monde des hommes est beaucoup trop cruel.
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